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On trouve aussi l’expression gohonzon (御本尊) dont la signification est tout à fait équivalente, go (御) étant ici un préfixe honorifique. Une traduction possible est le vénéré fondamental. Le honzon se présente généralement sous la forme d'une sculpture d’un bouddha ou d’un maître à qui s’adressent la vénération et les offrandes. C'est la principale effigie d’un temple ou d’une chapelle. L'équivalent chrétien approximatif serait le Saint patron d'une église ou d'une chapelle. Dans le bouddhisme de Nichiren le terme revêt une importance particulière car il désigne les représentations écrites qu’il a commencé à tracer après la persécution de Tatsunokuchi. Le gohonzon de l'enseignement essentiel est la deuxième des Trois grandes Lois ésotériques. Au début, les gohonzon écrits par Nichiren étaient remis nominativement à des disciples afin qu’ils s'en imprègnent durant leur pratique bouddhique. Les principaux honzon rencontrés dans le Pèlerinage des 88 temples de Shikoku: Ce sont les déités principales du Shingon qui forment un groupe appelées les Treize Bouddhas (Jusan Butsu). Les cinq dhyani bouddhas
Les sept bodhisattva
En plus: Fudô Myôô, qui dans ce système est l’une des formes irritées de Dainichi Nyorai. |
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